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au fur et à mesure que ma vie s’effeuille, sur la feuille, j’écris ma vie visiteurs il y a 1 visiteur en ligne bonjour bienvenue sur le blog "". merci à tous les visiteurs et en particulier à ceux qui me laissent des messages.parfois j'ai envie de perdre la mémoire pour lire mes textes pour la première fois et connaître les mêmes émotions que vous, mais c'est un rêve impossible. je lis vos commentaires et ma frustration disparaît. un grand coup de coeur à francis qui m'a relié à vous a bientôt et encore merci. thierry delprai vous devez être connecté à votre compte pour me contacter catégories non classé sketche articles récents abus dangereux exploration j’m'en fous quand la mer se retire cours prive declaration une soiree bien remplie imposture le pays de greenwich commentaires récents oholibama dans abus dangereux hélène dans une soiree bien remplie recherche emploi dans je vous attendais… hélène dans une soiree bien remplie kathy85 dans je vous attendais… liens danièle – etoiledelys douceurintemporel eric malou aquarelles evelyne francis infoetbonsplans isabelle laurearnoux libéré sur paroles ludmilla malou eric opale des mers du sud rvallou suzanne véronique la lilloise conformément au code de la propriété intellectuelle (loi n°57-298 du 11 mars 1957), il est interdit d'utiliser et/ou reproduire et/ou représenter et/ou modifier et/ou adapter et/ou traduire et/ou copier l'un des quelconques éléments :articles perso -publiés sur ce blog de façon intégrale ou partielle sur quelques supports que ce soit , électronique , papier ou tout autres supports, sans l'autorisation expresse et préalable de l'auteur : thierry couprai tous droits réservés. méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires je vous attendais… 10 décembre, 2008, 22:14 classé dans : non classé je ne sais pas ce qui a motivé votre venue,ni si vous resterez assez longtemps pour bien apprécier ce moment.qu’importe,vous trouverez peut-être ici ou là un texte ou un poème qui correspondra à ce que vous avez ressenti un jour ou qui vous fera connaître d’autres émotions.si l’ennui est au bout du chemin,vous n’aurez perdu qu’un peu temps,mais c’est le risque de toute découverte,de toute aventure. j’ai pensé que ce blog était un bon moyen pour donner une nouvelle chance à tous ces mots dont certains ont déjà été édités ou mis en musique. je sais qu’il ne sera pas toujours évident pour certains d’entre vous,de transmettre ici ce que vous avez ressenti sur ce que vous aurez lu,par pudeur parfois,ou par peur d’être maladroit.il se peut tout simplement que vous n’ayez rien aimé,et dans ce cas,l’indifférence ne s’exprime pas,ou si peu. je pense qu’il est néanmoins important,pas seulement pour moi,de faire partager vos sentiments car ils peuvent donner un jour nouveau à certains sujets. tout ce que je peux vous dire,c’est que la richesse de ce blog ne se trouve pas systèmatiquement dans les mots que j’ai écris, mais dans les nombreux commentaires déjà présents. bonne visite thierry delprai c’est un vrai plaisir de te lire et de mieux se comprendre au travers de tes mots ! ta pensée est à la fois limpide, c’est à dire pure, mais aussi simple comme la vraie clarté authentique, elle parle de nous, de l’humain, avec des questionnements de bases, avec des questions essentielles, des regards et des regrets parfois, des chemins toujours… tu ouvres ici par tes mots un lieu intelligent reposant et vivant… tu as la simplicité aussi de n’être pas donneur de leçon mais de rechercher un vrai dialogue en sachant écouter ce que les murs te renvoient en écho… merci à toi ludmilla lettresetlenez.unblog.fr | déc 5, 10:34 — 51 commentaires -- abus dangereux 26 septembre, 2010, 8:06 classé dans : non classé il était une fois moi. c’est une belle histoire, qui ne se termine pas. ca ne parle que de moi, mais c’est si agréable. et puis, on s’habitue très vite. quelques mots, pour quelques reproches, et je mets ma conscience dans ma poche. je fais le tour de moi, dans le maximum de jours, mais je vais certainement dépasser l’horaire. vous croyez que je m’amuse en route ? et bien oui, j’avoue, je déguste, je savoure. je sais, c’est de la gourmandise, j’ai un peu honte. comment dites-vous ? mais bien sûr, il en reste…tenez, alors, qu’en pensez-vous ? oui, c’est spécial, disons que c’est différent ! mais vous êtes tout blanc, vous ne digérez pas ? vraiment je suis désolé ! une allergie à moi, embêtant. ah non, moi jamais, en général, je me supporte bien. je ne me suis jamais rendu. c’est sûr, il ne faut pas en abuser, comme toutes les bonnes choses du reste ! tenez, prenez ceci, cela vous fera du bien. ce n’est rien, seulement un anti-moi. mais rassurez-vous, je ne suis pas immortel. 34 commentaires -- 10 octobre, 2009, 11:54 classé dans : non classé une feuille blanche, une feuille morte, au petit matin, sur une table de bois, et l’odeur du café à travers la porte, ma tête étourdie, mes doigts engourdis, je n’ai besoin que de toi. quelques livres sur un lit défait, petite chambre sans loi, derrière la vitre, quelques fumées, papier dans la corbeille, inspiration que rien n’éveille, je n’ai besoin que de toi. mon visage dans la glace, ton visage au fond de moi, un peu de café au fond de ma tasse, et je me réveille, dehors, dehors le soleil, je n’ai besoin que de toi. une feuille blanche, une feuille morte, a petit matin, les rêves se noient, mais formeront encore ce soir mon escorte, l’amour s’évapore, l’espoir habite mon corps, et toi, tu n’as pas besoin de moi. 20 commentaires -- exploration 1 octobre, 2009, 16:15 classé dans : non classé j’ai fait un petit trou dans ma tête, et j’ai envoyé mes yeux, explorer cet endroit curieux, dommage qu’ils aient oublié leurs lunettes. ils se sont donc perdus, et moi, je n’ai rien vu. pour qu’ils retrouvent le jour, je suis parti à leur secours. on se retrouve côté cœur, notre présence le met de mauvaise humeur, il nous dit, ça ne va pas la tête, sortez d’ici où je m’arrête ! je me présente comme le propriétaire, heureux de faire sa connaissance. il me répond sans complaisance, qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. il ajoute, je n’ai ni maître ni loi, rien, pas même vous, ne me contrôle. jamais vous ne m’adressez la parole, vous pouvez donc vous passer de moi. alors le salaud a tout arrêté, a l’extérieur on a conclu à un suicide, sortez-moi d’ici, c’est un homicide, et je peux le prouver ! la morale de cette histoire, c’est qu’avec le cœur, pas de pacte, et avec les yeux mieux vaut prévoir, des verres de contact. (texte modifié ou plutôt amélioré selon les conseils de lucaerne) 33 commentaires -- j’m'en fous 23 septembre, 2009, 11:26 classé dans : non classé tous les soirs devant mon petit cube, je regarde les infos après la pub, ils parlent encore du tchad et du liban, mais moi, j’m’en fous, je suis vivant ! tous les matins devant mon café, j’me prends au sérieux en lisant « le monde », ils écrivent encore sur le « tiers monde », mais moi j’m’en fous, j’ai bien bouffé. tous les jours dans ma caisse à frimer, j’écoute ma petite boîte à paroles, ils annoncent encore une hausse du pétrole, moi, j’m’en fous, j’ai la voiture de société. tous les jours au boulot, les collègues réclament leur part de gâteau, en mendiant toujours une augmentation, moi, j’m’en fous, c’est moi le patron. ils annoncent ce matin une guerre nucléaire, que c’est la dernière mondiale, j’ai toujours dit que ça finirait mal, mais j’y pense, j’m’en fous, j’suis mort hier. 13 commentaires -- quand la mer se retire 2 septembre, 2009, 11:28 classé dans : non classé la plage était immense et nue, le sol était dur et craquelé, comme si la terre avait tremblé, comme si la terre était frileuse. seuls, deux enfants jouaient, trop petits pour voir là-bas, la mer qui galopait. ils avaient délimité chacun leur territoire, par des traits dans le sable. une simple ligne aurait suffi, pour se partager l’immensité, mais quelques mètres carrés leur suffisaient. le premier avec quelques galets, construisit